vendredi 22 mars 2013

  • Abdelkader Bouderoua la grève du SAP les a fait enfin sortir de leur mutisme et ils communiquent; c'est bien et meme excellent. mais depuis toute cette eau qui a coulé sous les ponts, le paramédical doute, et ne peut s'empecher de penser qu il s'agit juste d'une nouvelle m...Voir plus

mercredi 20 mars 2013

TRES TRES FORTE ADHESION A LA GREVE CHEZ LES PARAMEDICAUX

En effet; le raz le bol est constaté. Il est exprimé par la forte adhésion à la grève constatée même à l'EPSP Bouchaoui Cheraga... les quelques derniers retissant ont rejoins pour grossir les rangs. les paramédicaux comprennent que devant une tutelle insensible et sourde a leurs revendications légitimes n'ont d'autre chemin pour ouvrir un vrais dialogue constructifs et aboutissant a du concret que la contestation !

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2013/03/20/laune20032013.jpg



Actualités : CONSÉQUENCE DE LA GRÈVE DES PARAMÉDICAUX
Situation difficile dans les hôpitaux


La grève du personnel paramédical a été massivement suivie. Résultat : les rendez-vous reportés, les interventions et les soins réduits et seuls les cas urgents sont admis. Les paramédicaux entament aujourd’hui leur troisième et dernier jour de leur mouvement de protestation.

Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - «Nous avons la vie des milliers de gens entre les mains, nous n’avons pas le droit de jouer avec les vies humaines» soulignent les paramédicaux qui expliquent qu’ils sont, certes en grève depuis trois jours, mais le travail, quand bien même, il est au ralenti, il ne s’est pas pour autant totalement arrêté. Dans les couloirs du service du CPMC à l’hôpital Mustapha Pacha, à Alger, blouses blanches et patients sont tous les deux nerveux. Les premiers, pour ne pas avoir eu gain de cause pour leurs revendications et les deuxièmes contraints de revenir la semaine prochaine pour reprendre rendez-vous. Le personnel en grève explique que les rendez-vous des consultations ne sont pas assurés. «Tous ce qui est froid n’est pas pris en charge, nous ne traitons que les cas urgents» a indiqué un paramédical, furieux de se retrouver dans cette situation. Pour lui, le personnel paramédical est «l’ange gardien du malade quand bien même la colère contre les pouvoirs publics est présente. Le patient ne peut pas être le bouc émissaire». «C’est nous qui sommes à longueur de journée au chevet du malade» soulignent les grévistes dont le combat est justement d’améliorer les prestations de soins. La grève est cependant, leur seule option. «Nous ne pouvons pas assurer notre travail convenablement dans ces conditions» explique le personnel gréviste qui assure que 80% des actes de soins dans les établissements de santé publique, sont réalisés par les paramédicaux. Les malades sont, cependant, désemparés : «heureusement que leur grève ne va pas durer trop longtemps. Déjà qu’en temps normal nous galérons pour pouvoir prendre un rendez-vous » expliquait une patiente. Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) initiateur de ce mouvement de grève, appelle la tutelle à honorer ses engagements concernant l’application du statut particulier du corps paramédical, appliqué jusque-là à seulement 20%. Le syndicat attend ainsi l’application du volet lié à la formation, les primes de permanence, de contagion, de risque et de garde. L’intégration des paramédicaux brevetés dans le nouveau statut ainsi que la mise en application d’un dispositif réglementaire accompagnant le nouveau statut dans la nomination aux postes supérieurs. Les paramédicaux mettront fin, aujourd’hui, à leur mouvement de grève. Ils promettent de revenir à la charge si le ministère de tutelle ne réagit pas.
S. A.


mardi 19 mars 2013

La grève très suivie selon le SAP


La Dépêche de Kabyliear L. O. Challal et Ramdane B. | Il ya 8 heures 39 minutes | 780 lecture(s)

AU PREMIER JOUR DE DÉBRAYAGE DES PARAMÉDICAUX

La grève très suivie selon le SAP


Comme prévu, les paramédicaux ont entamé, hier, leur mouvement de grève de trois jours, afin d’exiger la prise en charge de leurs revendications, restés en suspens à ce jour. Le secrétaire général de cette entité syndicale, M. Lounès Ghachi, estime que le taux de suivi de cette grève, au premier jour, a atteint les 90 % sur le territoire national. « Néanmoins, le service minimum a été assuré », a affirmé notre interlocuteur. Les paramédicaux ont été nombreux, hier, à répondre favorablement à l’appel du syndicat algérien des paramédicaux (SAP). D’ailleurs, le taux de suivi de ce débrayage a atteint les 100%, à Alger, Blida, Bouira, et Tizi-Ouzou, et  90% au niveau de la majorité des wilayas du pays.   A Bouira, le coordinateur de ce syndicat à l'échelle de la wilaya, M. Slimane Habel, confirme les chiffres avancés au niveau central du syndicat. Le mouvement de contestation a été suivi lors de sa première journée à 80% d’adhésion à travers l’ensemble des EPSP que compte la wilaya, et 100% au niveau du chef-lieu de Bouira, dira t-il. Notre virée au CHU Mustapha Pacha confirme également le constat du syndicat.  Le personnel paramédical de cet établissement hospitalier était au rendez-vous pour observer son piquet de grève. En effet, des dizaines de blouses blanches se sont rassemblées dans l´enceinte de l´hôpital en question. Le SG du SAP n’a pas omis de dire que « le corps paramédical demande l’application totale de leur nouveau statut particulier promulgué en 2011». Ce nouveau débrayage, selon la même source, intervient après une rencontre tenue récemment avec la commission centrale chargée du suivi de nos dossiers. 
































« Il n’y a rien eu de concret lors de cette réunion et nous, on ne veut pas dialoguer pour dialoguer », a expliqué M. Ghachi, qui souligne la détermination des paramédicaux à poursuivre leur grève aujourd’hui et demain. Les paramédicaux rencontrés sur les lieux ont réitéré leur attachement à leurs revendication qui se résument en le rattachement de la formation paramédicale à l’enseignement supérieur (formation LMD), le respect du cahier des charges du ministère de tutelle et le respect des amendements apportés au statut, notamment le volet se rapportant au plan de progression de carrière. Cette entité syndicale réclame aussi l’application des bonifications des postes supérieurs, tel que régie par les dispositions du décret exécutif portant promulgation du statut particulier de la corporation paramédicale, la revalorisation des gardes payantes, le règlement définitif des situations des cadres syndicaux sanctionnés abusivement.  

L. O. Challal et Ramdane B.

lundi 18 mars 2013

Actualités : LES PARAMÉDICAUX EN GRÈVE DE TROIS JOURS À PARTIR D’AUJOURD’HUI Les hôpitaux menacés de paralysie


A l’appel de leur syndicat, les paramédicaux entameront à partir d’aujourd’hui, une grève de trois jours. Ils dénoncent le non respect des engagements tenus par leur tutelle et menacent de durcir leur mouvement.

Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Retour de la contestation dans les hôpitaux. Les paramédicaux se mobilisent une nouvelle fois et décident de paralyser les établissements hospitaliers. Ils demandent une prise en charge sérieuse de leur plate forme de revendications. Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) qui a appelé à une grève nationale de trois jours les 18, 19 et 20 mars en cours, est catégorique. «Nous ne voulons plus de dialogue. Nous exigeons la concrétisation des engagements de la tutelle par rapport à la concrétisation des revendications du personnel paramédical ». Selon le syndicat, le ministre de la Santé ne montre aucune réelle volonté pour régler définitivement le dossier du statut particulier de la corporation. «Nous constatons sans surprise, la légèreté que manifeste la tutelle quant à l’élaboration des dispositifs réglementaires indispensables dans l’accompagnement de la mise en œuvre effective du statut particulier», souligne le syndicat, qui qualifie l’attitude du ministère de la Santé de fuite en avant. Une attitude, souligne le SAP, qui «nous pousse une fois de plus, à reprendre le chemin de la contestation pour attirer l’attention des pouvoirs publics». Le SAP compte faire aboutir une plate forme de revendications qui s’articule autour du respect des dispositions statutaires, intégrant les paramédicaux brevetés dans le nouveau statut et l’élaboration d’un calendrier de travail et des dispositifs réglementaires, afin de rendre effective la progression de carrières inexistante, des paramédicaux de la santé publique. Il demande aussi, la mise en application effective et la normalisation des postes supérieurs, conformément au statut ainsi que la mise en application d’un dispositif réglementaire accompagnant le nouveau statut, dans la nomination aux postes supérieurs des paramédicaux ainsi que la revalorisation des indemnités de gardes et de risques. Ce premier mouvement de débrayage, souligne le SAP, est une mise en garde avant d’aller vers une grève illimitée, dans le cas où la tutelle ne réagit pas.
S. A.


dans l'epsp de cheraga ; une reunion du bureau de la section a été tenue ; le lundi 11 Mars 2013 pour le lancement et la coordination de la greve dans les sous secteurs ; la sortie prévue le mercredi 13 Mars 2013 a permis une compagne de sensibilisation et explications aux paramédicaux sur le terrain de la proximité. 

CETTE PREMIERE JOURNEE DE GREVE MONTRE UN TRES BON SUIVIS = LES PARAMEDICAUX SONT SENSIBLE A LA CONTAINTE DE CES PARENTS , ENFANTS et AUTRES CITOYENS ALGERIENS 
MAIS LA TUTELLE FAIT FIE ET PARAIT INSENSIBLE AUX REVENDICATIONS LEGITIMES DES PARAMEDICAUX.

dimanche 3 mars 2013

samedi 2 mars 2013

Grève des paramédicaux du 18 au 20 mars

Algérienews quotidien national d'information











Actu - 2 mars 2013 à 00:08
Ils accusent Ziari de vouloir gagner du temps

Grève des paramédicaux du 18 au 20 mars

Les établissements de santé publique du pays pourraient être paralysés encore une fois et ce, suite à la décision du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) d’obser-ver une grève de trois jours du 18 au 20 mars.
Dans une déclaration à Algérie News, le secrétaire général du SAP, Gachi Lounès, a indiqué que ce retour à la protestation est décidé à l’issue du conseil national tenu avant-hier jeudi et ce, en présence des représentants syndicaux des 48 wilayas du pays.  « Nous avons tenu, avant-hier, notre conseil national dans lequel nous avons appelé à une grève de trois jours du 18 au 20 mars. L’objectif de ce débrayage est de dénoncer la négligence du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière quant à l’application sur le terrain du statut particulier des paramédicaux.
Ce statut a été décrété depuis 2008, malheureusement, son application n’a pas vu encore le jour », a-t-il regretté. Le SG du SAP a regretté la non-tenue du délai attribué par le département de Ziari quant à la prise en charge de leurs revendications qualifiées de légitimes. « Lorsque nous avons tenu le dernier débrayage, la fin du mois de décembre dernier, la tutelle nous a attribué un délai d’un mois pour étudier notre plate-forme de revendications. Ce délai n’est pas respecté !» La preuve : nous sommes au mois de mars et rien n’est fait», a-t-il dit. Avant d’ajouter : «J’ai été personnellement reçu, mercredi dernier, par la commission du ministère de Tutelle qui m’a affirmé que l’étude de notre plate-forme de revendications n’est pas encore terminée. Je pense que le minis-tère est en train de gagner du temps et rien de plus. Ce qui a poussé le SAP de renouer avec la protestation ».
Gachi a indiqué que les paramédicaux ont retiré leur confiance à Ziari quant à la prise en charge de leurs doléances. Interrogé sur l’aspect salarial des paramédicaux, le même syndicaliste déclare : « Un nouveau paramédical, fraîchement recruté, touche un salaire de 35 000 DA alors qu’un paramédical qui a cumulé une vingtaine d’années de travail, perçoit un salaire de 41 000DA. Mais, il faut savoir que ce sont des salaires dérisoires par rapport aux risques auxquels nous faisons face au niveau de établissements de santé», a-t-il insisté. En plus de la négligence du département de Ziari, quant à la satisfaction des revendications du corps paramédical, ce dernier hausse le ton pour exiger la réhabilitation de leurs collègues syndicalistes licenciés abusivement par les directions des hôpitaux. «Notre objectif par la tenue de cette grève de trois jours est  d’exiger la réhabilitation immédiate de nos collègues », a-t-il noté. Gachi indique, par ailleurs, que les paramédicaux sont déterminés à aller jusqu’au bout de leurs revendications. « Si le ministère se mure dans son silence, nous menaçons d’aller vers une grève illimitée d’ici la fin du mois de mars en cours ».
Il faut rappeler que parmi les revendications soulevées, le même interlocuteur cite « les primes de garde et de contagion et l’intégration des brevetés dans le grade des diplômés d’Etat. Nous demandons également la bonification et l’intégration des chefs d’équipe des paramédicaux, des chefs d’équipe auxiliaires-médicaux en anesthésie réanimations, des sages-femmes et des surveillants des services médicaux. Nous réclamons, en outre, la dotation des établissements hospitaliers de moyens de protection contre les produits chimiques et les rayons X », a-t-il conclu.
Zohra Chender

Les paramédicaux en grève le 18 mars


Débrayage de trois joursLes paramédicaux en grève le 18 mars


Les paramédicaux ne décolèrent pas. Depuis quelques mois déjà ils ont appelé plusieurs actions de protestation. Ils viennent d’annoncer un nouveau mouvement de grève de trois jours.

02 Mars 2013,   Le Midi Libre


Le conseil national du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP), qui a tenu une réunion extraordinaire ce jeudi, a ainsi décidé d’initier un mouvement de débrayage les 18, 19 et 20 mars prochains. Dans le communiqué rendu public à l’issue de cette réunion le SAP menace même d’initier une grève illimitée dont « les conséquences seront assumées par la tutelle ».
Le syndicat des paramédicaux reproche ainsi à la tutelle, à savoir le ministère de la Santé, son « attitude de fuite en avant » et de n’avoir pas respecté ses engagements par rapport à la plateforme de revendications du SAP dans le cadre du court terme.
« Force est de constater que le délai imparti entre le MSPRH et le SAP n’a pas été respecté par la tutelle au grand désarroi de la corporation » note le communiqué du syndicat. Ce dernier pointe du doigt la légèreté que «manifeste la tutelle quant à l’élaboration des dispositifs règlementaires indispensables dans l’accompagnement de la mise en oeuvre effective du statut particulier ».
Le SAP met de nouveau en avant ses revendications. Il est ainsi question de l’élaboration, dans les délais, du dispositif portant intégration des paramédicaux brevetés conformément à la date du statut et notamment le respect de la clause portant extinction de ce corps.
Il est aussi question de la mise en application effective et normalisation des postes supérieurs et ce, conformément au statut. La définition d’un calendrier de travail relatif à la mise en oeuvre d’un plan de carrière inexistant des paramédicaux de la santé publique. Le SAP revendique aussi la mise en conformité et la revalorisation des indemnités de garde et de risque.
Les paramédicaux ne veulent plus avoir affaire au «despotisme de certains gestionnaires qui excellent dans la suspension de syndicalistes alors que l’administration centrale fait preuve d’une totale indifférence ». D’ou l’appel du SAP à la mobilisation générale des paramédicaux jusqu’a la satisfaction de toutes les revendications.
Décidément les paramédicaux ne semblent pas près de lâcher prise puisqu’en l’espace de trois mois ils ont initié plusieurs mouvements de grève. En effet après la grève de trois jours, les 24, 25 et 26 décembre 2012, ils sont revenus à la charge les 21, 22 et 23 janvier. Face au mutisme du ministère de la Santé ils ont de nouveau débrayé les 4, 5 et 6 février ainsi que les 11, 12 et 13 février. Et à chaque fois les hôpitauxétaient entièrement paralysés.
C’est dire toute la détermination des paramédicaux en vue de faire entendre leurs voix et faire aboutir leurs revendications. Le ministère de la Santé est donc appelé à agir en vue de renouer le dialogue avec ce syndicat afin d’éviter des désagréments aux patients.
Kamal Hamed